Harold Larente, le 15 avril 2019
Révision de l’article 19.- Les biens de Barthélémy Vinet-Larente : de la cave au grenier (Partie I) suite à un commentaire pertinent de madame Louise Trudeau, présidente de l’association des Truteau d’Amérique.
Madame Trudeau mentionnait que :
« Dans l’inventaire après-décès de Barthélémy, on parle d’une cabane. Pourrait-il s’agir d’un lit clos vu que son contenu réfère à de la literie : sept couvertures, dont deux en poil de chèvre, un petit lit de plume enveloppé de deux peaux « passées » et un morceau de peau également « passées ». Le petit lit de plume suggère qu’il a pu être aménagé pour un enfant.
En effet, certains contrats de construction du charpentier Étienne Truteau l’obligeaient à fabriquer des « cabanes ». Il s’agissait pour lui d’aménager dans le coin d’une pièce de la maison un lit clos rustique comme on en trouve encore en Normandie et en Bretagne dans les très vieilles maisons. La cabane fermée de portes ou de rideaux permettait aux occupants de se garder au chaud même si le feu était éteint. »
À la lumière de ce commentaire, nous avons révisé la section cabane, où nous faisions allusion à une cabane d’« habitant », abri sommaire des premiers défricheurs. L’image et la note de bas de page soutenaient cette interprétation. Une relecture de la recension des biens de Barthélémy suite à ce commentaire me persuade de revoir cet article.
Ce genre de lit permettait de conserver au maximum la chaleur du corps.